jeudi 31 janvier 2019

Jeudi 31 - Varadero

Une carte postale de Varadero.



Ce que j'ai mal à la tête ce matin, ce qui me cause, ce qui me cause! Ce que j'ai mal à la tête ce matin, ce qui me cause bien du chagrin! J'avais programmé le réveil pour 8h00 mais à 7h00 je suis déjà réveillé et bien sûr, je n'ai pas réussi à me rendormir. J'ai un mal de tête causé par le bruit incessant des climatiseurs des chambres voisines qui ont fonctionné toute la nuit. Je ne comprends pas comment les occupants de ces chambres font pour dormir avec ce bruit, ni pourquoi ils le laissent fonctionner car les nuits sont assez fraîches merci! Moi, j'ai même besoin d'une couverture!

Donc avant le déjeuner, j'avale 2 Advil extra-fort en espérant que ça me soulagera. Puis une fois le déjeuner terminé, je retourne à ma chambre car malheureusement les Advil n'ont pas réussi leur mission. La matinée va être tranquille car je dois être en forme ce soir. Avec Diane et Denis nous avons prévu aller manger à la pizzeria voisine de l'hôtel pour faire changement du buffet qui lui ne change pas souvent si ce n'est que la couleur du riz.

Pendant le dîner j'ai discuté avec Carole que j'ai connu quand je n'avais pas encore ma valise et depuis, j'ai comme l'impression que je la croise souvent! Très souvent! Peut être trop! Elle a beaucoup de jasette et ne me lâche pas d'une semelle! Comme elle est seule à sa table (non, elle n'est pas habillée en bleu!), elle m'invite à me joindre à elle. Pour une rare fois, c'est moi qui termine de manger le premier puisqu'elle n'a jamais cessé de placotter tout le long du repas.

Après le dîner, et m'être enfin libéré de Carole, j'avale 2 autres Advil et je me décide enfin à faire un tour dans Varadero. Il était temps! Comme je n'étais pas revenu à Cuba depuis le passage de l'ouragan Irma en 2017, je me demandais si la Villa Alice, cette vieille maison en bois que j'avais pris en affection, avait résisté aux vents violents. J'ai rapidement eu la réponse lorsque j'arrive au coin de la calle 48 en voyant les escaliers de la Villa qui se terminent dans le vide! Un peu plus loin, il y a une autre maison où le toit occupe maintenant le rez-de-chaussée. C'est d'une tristesse!

Après une pause au petit parc près d'un marché aux puces, je continue ma marche en direction du "Beatles". Sauf que je ne m'y rendrai jamais! Je ne sais pas si ce sont les multiples aller-retour de ma chambre à la réception hier qui m'ont épuisé mais je sens soudainement mes jambes très lourdes! Je rebrousse chemin avant même d'être rendu à proximité du Parc Josone.

De retour à l'hôtel, j'enfile mon maillot et je vais me rafraîchir dans la mer. Il fait si chaud que je n'ai même pas envie de rester au soleil, je déplace ma chaise longue dans l'ombre de l'hôtel. J'y suis si bien... que je m'y endors! Lorsque j'ouvre les yeux, la plage est presque vide. Un coup d'œil à mon téléphone pour voir l'heure: 16h37. Aïe! J'ai rendez-vous à la pizzeria à 17h00!

Je monte à ma chambre en vitesse, prends une douche rapide et à 16h59, je ferme la porte de ma chambre et à 17h00 je suis dans la rue et j'y vois Denis au coin. Une chance que le resto est juste à côté de l'hôtel!

Nous avons discuté pas mal et surtout, nous nous sommes régalés! Comme lors de mes deux visites précédentes, j'ai mangé une pizza au jambon et à l'ananas! Ça fait vraiment changement du buffet et en plus c'est très abordable! Peut-être devrais-je sortir plus souvent de l'hôtel à l'heure des repas!



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