Samedi 19 - Le Pic du Midi de Bigorre (Deuxième partie: La descente)

Une carte postale du Pic du Midi de Bigorre.

Alors as-tu apprécié la montée en téléphérique? Oui! Alors accroche ta tuque avec de la broche car la descente est encore plus spectaculaire! 

Le Pic du Midi de Bigorre c'est ici.

Samedi 19 - Le Pic du Midi de Bigorre (Première partie: La montée)

 Une carte postale du Pic du Midi de Bigorre.

Voilà, c'est aujourd'hui que je complète mes vacances... de l'année dernière! Eh oui, lorsque j'étais venu en France l'an dernier, je m'étais promis de d'escalader (en téléphérique!) le Pic du Midi. Je ne me doutais pas qu'une infection à un poumon allait m'obliger à repousser mon rêve... d'au moins un an! Mais cette fois, c'est vrai, je m'envoie en l'air et comme je suis gentil, je te partage mon ascension et tu n'as même pas à payer les 49 euros qu'il en coûte pour l'aller-retour.

Voici donc la montée, la descente ce sera pour plus tard! PROMIS!

Le Pic du Midi de Bigorre c'est ici.

Jeudi 10- Barcelonette

Une carte postale de Barcelonette.

(Photo à venir)

J'ai quitté Barcelonette ce midi afin de commencer ma route vers Monpazier, tranquillement, pas vite! J'ai fait un arrêt à Saint-Vincent-les-Forts où j'ai fait la connaissance d'Isabelle, une québécoise qui tient un café dans ce minuscule village où il beaucoup de gens s'envoient en l'air devant tout le monde. Je n'ai pas pu m'empêcher de prendre plein de photos et de vidéos. J'aurais bien aimé avoir le courage de faire comme eux... mais je n'ai pas osé! En plus ça coûte assez cher! Un jour, peut-être, oserais-je faire un vol de parapente mais ce n'était pas aujourd'hui! Quoi? Tu pensais à autre chose quand je parlais de s'envoyer en l'air? Ben voyons! 

Après avoir visité le mini-village, bu un café au "P'tit spot" et passé plusieurs minutes (françaises, les minutes), à filmer les parapentistes, j'ai poursuivi ma route jusqu'à Seyne-les-Alpes, un charmant village, classé parmi les Villages de Caractère des Alpes-de-Haute-Provence. Aujourd'hui encore, j'ai eu la chance d'être au bon endroit au bon moment. J'étais dans l'église à prendre des photos quand une dame s'approche de moi et me demande si je veux voir la sacristie! Sapristi, je n'ai pas pu refuser! 

Plus tard, alors que je prends des photos dans le village, une autre femme me demande si j'ai aimé ce que j'ai vu dans la sacristie! Elle me dit que c'est sa collègue qui lui avait dit qu'elle me l'avait fait visiter! Ben coudon, les nouvelles vont vite dans les p'tits villages.

Je n'ai pas terminé ma visite quand les cloches de l'église sonnent 7 fois. Grrrr! Je n'ai pas vu le temps passer. Il est trop tard pour aller m'acheter un lunch pour souper, je vais devoir trouver un resto pas trop cher pour ce soir. Coup de chance, il y en a justement un en face du stationnement où m'attend Majoly.

Une fois ma délicieuse pizza au chèvre et au miel terminé, je retourne au stationnement où j'espérais passer la nuit mais je vois une affiche (que je n'avais pas remarqué plus tôt!) indiquant qu'il est interdit de stationner entre 2h00 et 15h00 les vendredis, jour du marché à Seyne-les-Alpes! Il est un peu tard pour essayer de trouver un autre endroit pour dormir faque... je suis de retour à Barcelonette où les marriachis ont de nouveau envahi la place du village en cette semaine de fêtes mexicaines. J'attends juste qu'ils terminent de chanter pour aller me coucher! 

Tiens, justement je ne les entends plus! Allez, je vais me coucher!

Mardi 8 - Les Gorges du Cians

 Une carte postale des Gorges du Cians.

Comme promis, voici la suite de la boucle. Enfin, pas tout à fait car j'ai complété la boucle et me suis rendu jusqu'à Puget-Théniers sans même avoir pris le temps de m'arrêter à Valberg. C'est en visionnant les images que je me suis aperçu qu'il y avait trop souvent des reflets du tableau de bord dans le pare-brise alors je suis reparti en direction de Beuil et ensuite de Valberg où je prendrai le temps de m'arrêter ce coup-ci! Donc dans cette carte postale, tu as donc les Gorges du Cians à partir du Sud jusqu'à Beuil au Nord. 

Par contre, de Beuil à Valberg... ben ce sera, peut-être une autre fois! Mais prépare toi quand même à t'en mettre plein les rétines avec les Gorges du Cians, c'est vraiment impressionnant et magnifique!

Les Gorges du Cians c'est ici.

Mardi 8 - Les Gorges de Daluis

 Une carte postale des Gorges de Daluis.

Bon, c'est décidé, c'est aujourd'hui que je boucle la boucle que j'avais commencé en 2019 soit de me rendre à Guillaumes en traversant les magnifiques Gorges de Daluis, ensuite prendre la route D28 qui passe par Valberg jusqu'à Beuil, d'où je redescendrai par les superbes Gorges du Cians jusqu'à Puget-Théniers. En 2019, je n'avais pas fait le segment entre Guillaumes et Beuil car comme je dormais à Entrevaux, je m'étais rendu à Guillaumes où j'avais passé une bonne partie de la journée et ensuite je m'étais rendu jusqu'à Péone où... je ne me suis pas arrêté car à peine avais-je franchis l'entrée du village, Majoly s'était pétée une durite (ce que je n'avais appris que le lendemain lorsque j'avais réussi à trouver un garage où il pouvait la soigner)! J'étais redescendu immédiatement vers Entrevaux par la même route à la vitesse d'un escargot! 

Ce n'est que 5 jours plus tard que j'avais traversé les Gorges du Cians et qu'une fois rendu à Beuil, le soleil avait cédé sa place aux nuages et à la pluie. Là encore, j'étais revenu à Entrevaux par la même route par laquelle j'étais arrivé. Puis le lendemain, je retraversais les Gorges du Cians pour me rendre à Roubion. Après avoir passé la journée à visiter ce magnifique village, je quittais la région en direction de Nice afin d'entamer mon retour vers Monpazier. Je m'étais promis de revenir dans cette région lors de mes prochaines vacances mais je ne me doutais pas qu'une pandémie nous attendait dans le détour!

Je pensais bien y revenir l'année dernière, j'avais même acheté ma caméra de tableau de bord pour cette occasion mais encore là, mon infection au poumon avait coupé mes vacances en deux et m'avait obligé de revenir à Monpazier pour me soigner et me reposer. 

Alors comme je te disais plus tôt, c'est donc aujourd'hui, si le ciel ne me tombe pas sur la tête, que je boucle la boucle! Pour l'instant, voici une carte postale des très colorées des Gorges de Daluis jusqu'à Guillaumes. J'espère t'envoyer une autre carte postale un peu plus tard du reste du parcours!  

  À plus tard!

Les Gorges de Daluis c'est ici.

Vendredi 30 - Soulatgé

 Une carte postale de Soulatgé.

Ce vendredi, je me rends à Soulatgé, un petit village charmant dont m'a parlé Léa (à ce moment-là, je ne connaissais pas encore son prénom!) lorsque je suis passé à la gare de Rivesaltes hier après-midi pour avoir des renseignements sur le Train Rouge. Plus elle m'en parlait et plus je voyais ses yeux pétiller! Le problème, c'est qu'on a

parlé plusieurs minutes (françaises, les minutes!), ce qui fait que moins de 24 heures plus tard, j'en ai oublié quelques bouts dont un assez important: LE meilleur moment pour visiter le village c'est le mercredi soir alors qu'il y a un marché nocturne avec les artisans du coin.

 

Donc lorsque j'arrive en voiture au village et je suis les indications « P » qui annoncent un « Pstationnement » et après avoir laissé Majoly dans le « Pré » qui sert de stationnement, c'est à pied que je rejoint le cœur du village. En arrivant à l'entrée du village, qu'est-ce que je vois? Une affiche annonçant le marché nocturne (de 18 à 20h alors

que le soleil ne couche pas avant 22h!) et j'allume! Bon ben, ce n'est pas grave, maintenant que j'y suis, j'y reste. C'est assez tranquille, les rues sont désertes, je n'y croise pas un chat (mais quelques chiens)!

 

Je prends le temps de marcher dans toutes les rues, je

fais le tour de l'église en empruntant un petit sentier où se trouve un panneau « Attention aux vipères ». Faque... je regarde plus où je mets les pieds que je ne regarde l'église! Lorsque j'en ai fait le tour et que je me retrouve de nouveau devant l'église, je descends la petite rue Saint-Joseph et me retrouve de nouveau sur la route D14. 

(Qui a crié Bingo?)

 

Je prends une photo du restaurant que je présume étant celui dont Léa m'a parlé (on a tellement parlé, est-ce bien celui-ci? Bon OK, il n'y a qu'un seul resto dans le village mais on a pas juste parlé de ce village! Maudite mémoire!)

et je m'approche du menu affiché près de la porte close. Je suis en train de le lire quand une dame ouvre sa fenêtre afin de fermer les volets (pour empêcher la chaleur d'entrer!) et me voyant, nous commençons à discuter quelques minutes (françaises, les minutes!). Au cours de notre échange elle m'informe qu'il y a, à proximité du village,

un vieux pont Romain que l'on ne peut pas voir « par hasard ». Elle m'indique comment m'y rendre, ce que je ferai lorsque j'aurai terminé ma visite.

 

Après être passé dans toutes les rues et alors que je suis à nouveau près de l'église, la cloche sonne 5 coups, et

sachant qu'elle va sonner à nouveau dans une ou deux minutes, je vais me poster près de la placette afin de filmer le clocher quand sa cloche résonnera. Quelle n'est pas ma surprise de voir des mamans et des papas rassemblés sur la placette. Mais je ne me laisse pas déconcentrer, je pointe ma caméra vers le haut du clocher pour ne pas rater le spectacle. Sauf que, comme je suis presque au milieu de la rue, un autobus arrive à reculons et j'ai intérêt à bouger si je ne veux pas me faire écraser un autre orteil (ou tous les orteils!)! Et c'est justement à ce moment-là que la cloche se manifeste! Je filme les derniers coups de cloche qui sont pratiquement enterrés par les cris de joie de 3-4 enfants qui sortent de l'autobus pour rejoindre leurs parents. C'était le dernier jour d'école! Vive les vacances! Donne-moi ta main et prend la mienne, la cloche a sonné, ça signifie, la rue est à nous, que la joie vienne, mais oui mais oui, l'école est finie! (Clip de la chanson)

 

De mon côté, je peux dire que j'ai terminé ma visite du village alors je vais rejoindre Majoly qui m'attend sagement dans le Pstationnement et c'est ensemble que nous nous rendons « pas par hasard » au pont Romain. Effectivement, pour s'y rendre, il faut prendre une « route » à travers les champs où, visiblement les voitures ne passent pas très

souvent. Après avoir immortalisé le pont Romain, je retourne en direction du village et poursuis ma route vers Saint-Paul-de-Fenouillet, où dans les prochains jours, j'irai prendre le Train Rouge plutôt qu'à Rivesaltes car c'est à partir de cette gare qu'on change de train pour un où il y a des wagons à ciel ouvert et c'est justement ça qui m'intéresse, voyager à ciel ouvert!

 

Mais entre Soulatgé et SPDF, je dois traverser un site exceptionnel dont Léa m'avait également recommandé; les Gorges de Galamus. C'est toujours très impressionnant de rouler sur ces routes taillées dans le roc, bordées par la

falaise et où 2 voitures ne peuvent se croiser! Heureusement, il y a quelques endroits prévus pour s'immobiliser quand on voit au loin une voiture arriver en face. Puis lorsque j'arrive à l'autre bout des Gorges, je fais un petite pause (je ne suis pas le seul!) sur un stationnement d'où on a une vue magnifique sur les Gorges et sur l'Ermitage Saint-Antoine-de-Galamus, accroché au beau milieu de la falaise. Léa m'avait suggéré de m'attarder un peu dans les Gorges mais avec la Tramontane qui souffle, il ne fait vraiment pas chaud et je ne veux pas donner une chance à ma bronchite qui commence à s'affaiblir, de revenir me gâcher les vacances.

J'y reviendrai un autre jour!

Une fois arrivé à SPDF, je passe devant l'Office de Tourisme, où je suis déjà allé il y a plusieurs années, avant d'arriver à la gare où je fais mon repérage. C'est maintenant le

temps de penser à quelle endroit j'irai manger ce soir. Comme la ville la plus proche est Perpignan, pourquoi ne pas aller chez Buffalo Grill pour la première fois cette année! 

 

Je me suis régalé même si, comme toutes les fois où je commande un steak, j'ai dû le faire retourner en cuisine pour qu'ils terminent de le faire cuire! Pourtant, comme toujours, j'avais spécifié le vouloir TRÈS TRÈS bien cuit en insistant fortement sur les 2 TRÈS. C'est pas des farces, quand je l'ai coupé en deux, la viande était crue à l'intérieur!

Même lorsque la serveuse est revenue me le porter quelques minutes plus tard, il était encore saignant mais je l'ai mangé quand même! C'est tout de même incroyable d'être « cuisinier » et ne pas savoir faire cuire un steak!

 

Je t'entends qui me dis : « Hé! Ho! Tu ne m'as pas dit

comment tu as su le prénom de Léa? ».

Mais non, je n'ai pas oublié! Voilà, je t'explique! C'est que ce matin lorsque je prends la route, je fais une pause café et Internet au McDo de Sigean avant d'aller m'acheter un sandwich et une salade, chez Intermarché juste à côté, que je mangerai plus tard sur la route lorsque je trouverai un

endroit sympathique et ombragé. Je laisse Majoly me guider et Ô surprise, nous arrivons à Durban-Corbières que j'ai visité l'an dernier. En plus, je stationne pratiquement au même endroit. J'avais l'intention de manger sur le muret comme la dernière fois mais la Tramontane m'a fait comprendre que ce n'était pas une

très bonne idée. Je mange donc rapidement dans la voiture avant de poursuivre ma route.

 

Après avoir traversé Tuchan où j'étais passé aussi sans m'arrêter l'année dernière, je continue et j'arrive à Cucugnan. Au moment où je passe devant l'Office de

Tourisme je me souviens que Léa (dont je ne savais pas encore son prénom) m'a dit y avoir travaillé l'été dernier, alors j'y fait un arrêt éclair. Mais lorsque j'arrive devant la porte, je vois qu'il n'est ouvert seulement entre 10 et 13 heures (Hey, les touristes, si vous voulez visiter notre village, venez le matin!) et il est passé 14h. 

 

Alors que m'apprête à retourner vers Majoly, la porte de l'OT s'ouvre et une jolie voix à l'accent chantonnant me demande si elle pouvait m'aider. Je n'aime pas déranger les gens quand leur journée de travail est terminée mais elle insiste alors j'entre et je lui ai dit que j'ai rencontré une très bonne ambassadrice de la région hier à la gare de

Rivesaltes, qui m'a dit avoir travaillé ici l'an dernier, et qui m'avait conseillé d'aller visiter Soulatgé mais comme je n'ai aucune documentation, à tout hasard, je me suis arrêté ici pour voir s'ils en avaient! C'est Anne-Laure (là, j'ai osé lui demander son prénom!) qui m'a dit que c'est Léa que j'ai rencontré. Hélas, il n'y a pas vraiment de documentation sur Soulatgé mais elle me remet le seul dépliant qu'elle a, celui d'un artisan de l'endroit.

 

Voilà, tu sais tout de ma journée, je vais maintenant retourner vers mon aire de repos...

 

QUOI!!!! Non mais quel imbécile, quelle cruche, quel abruti, quel crétin je suis!!!

 Je suis parti de Monpazier plus tôt afin d'assister au festival de théâtre amateur de Narbonne et aujourd'hui, j'ai complètement oublié d'y aller! «/$%?&*!!! Déjà que n'y suis pas allé hier en raison de l'orage qu'il y avait à Rivesaltes, aujourd'hui c'est à cause de ma mémoire de poisson rouge que j'ai raté mon rendez-vous! Bon ben demain soir c'est l'avant-dernière, je passerai la journée dans les environs de Narbonne afin de ne pas oublier! Non mais quel imbécile! Quelle cruche! Quelle abruti! Quel crétin...

Mercredi 28 - Narbonne

 Une carte postale de Narbonne.

Enfin, je suis parti de Monpazier cet après-midi! Je ne peux pas rater le Festival de théâtre amateur de Narbonne une deuxième année de suite tout de même! Je roule sans même m'arrêter à l'aire de Port-Lauragais ni à celle de Carcassonne où j'aime toujours faire une pause. Je veux absolument arriver à Narbonne pour la représentation de ce soir car j'ai déjà manqué plus de la moitié du festival. 

Je pensais que la pièce commençait autour de 20h00 mais coup de chance, elle n'est qu'à 21h45 alors j'ai même eu le temps d'aller avaler une bouchée avant qu'elle ne débute! Génial!

Narbonne c'est ici.

Lundi 19 - Monpazier

 Une carte postale de Monpazier.

Comme disent les françâs, home sweet home! (Bisous Marielle!)

 

Monpazier c'est ici.

dimanche 18 - Toulouse

 Une carte postale de Toulouse.

Voilà, c'est fait, je bois mon premier café en sol français! À la Boulange Saint-Georges, Place Saint-Georges à Toulouse. Et un peu plus tard pour mon premier vrai resto, c'est à la porte voisine que je vais, la Crêperie Saint-Georges. Décidément, ils ne se cassent pas trop la tête pour trouver des noms à leurs commerces dans ce coin de la ville!

 

Voilà Martine, comme tu me l'as suggéré, j'ai commencé à me trouver de nouveaux endroits à fréquenter puisque mes anciens ont été emportés par la pandémie! Ouais ben en plus, je ne suis même pas allé sur la place du Capitole en ce début de vacances car aujourd'hui encore, la place n'est pas accessible aux 2 roues, les Toulousains ayant remporté la finale hier soir, aujourd'hui c'était leur "défilé de la coupe Stanley" de rugby. C'est ce qui m'a permis de découvrir de nouveaux endroits que je ne connais pas! 

Entéka, que je ne me souviens pas que je connaissais si jamais j'y suis déjà allé!

 

Toulouse c'est ici.

Samedi 17 - Toulouse

 Une carte postale de Toulouse.

Bon ben voilà, je suis arrivé à 13h à Toulouse alors que je n'ai jamais réussi à fermer l’œil pendant le vol. Je suis "poqué" pas à-peu-près et c'est sur le pilote automatique que je me rends jusqu'à l'hôtel pour une petite (longue) sieste. 

 

C'est en cherchant où manger ce soir que je passe devant le défunt Pizza Papa, qui malheureusement n'a pas ressuscité. Et comble de malheur, lorsque j'arrive devant mon autre resto italien préféré, Pizza Pino, j'ai un nouveau deuil à faire, il est lui aussi fermé définitivement. Moi qui, depuis un an, rêvais d'y manger un délicieux gratin de pennes aux 4 fromages! Re-!

Ce soir c'est match de finale de rugby et le centre-ville est bondé. Pas moyen de trouver une place dans un restaurant si tu n'as pas réservé à l'avance. Le seul "resto" où on peut aller c'est McDo et pas celui sur la place du Capitole où la foule est estimée à au moins 20 000 personnes. J'évite ce secteur ce soir! Ou plutôt, c'est le secteur qui m'évite car l'accès est interdit aux vélos et il est impossible de me séparer du vélo car toutes les stations où le déposer sont pleines dans le secteur! C'est un des inconvénients de ce service de vélo en libre-service!

Toulouse c'est ici.

Mardi 6 - Montréal

 Une carte postale de Montréal.

Cette nuit, en raison des feux de forêt qui embrasent le Québec présentement, la Lune s'est revêtue d'une teinte orangée! Elle est magnifique ainsi mais il ne faut pas oublier qu'elle a pris cette couleur car la qualité de l’air s’est dégradée en raison de la fumée.

Ce matin, lorsque le soleil se lève, sa lumière est rosée. Plus la journée avance et plus Montréal s'enfume! Les personnes atteintes de maladies respiratoires ou cardiaques peuvent être gravement affectées par le smog. Espérons que ces feux seront maîtrisés rapidement!