lundi 20 août 2018

Lundi 20 - Sète

Une carte postale de Sète.

Première photo en sortant du stationnement souterrain.



Grande Rue Mario Roustan et son bouchon de circulation
Depuis plusieurs années que je passe mes étés le long de la Méditerranée, entre la frontière de l'Espagne et celle de l'Italie mais jusqu'à présent je ne m'étais jamais rendu dans la ville natale de Brassens pour voir la fameuse plage de Sète où le poète suppliait d'être enterré!

Voilà, je m'y suis enfin arrêté et je suis vraiment très déçu! Bon d'accord, je suis arrivé en fin de journée, fatigué d'avoir roulé sur des petites routes et un peu épuisé de mes vacances qui s'achèvent. En plus, la dernière heure de route pour me rendre à Sète, je l'ai passé pare-choc à pare-choc dans un bouchon monstre causé par le passage d'un bateau au Pont de la Victoire, fermé pendant ce temps!

Lorsque finalement je franchis le pont, je suis le trafic en espérant pouvoir trouver une place de stationnement mais je dois me rendre à l'évidence, il me faudra que j'utilise un des stationnements souterrains payants. Lorsque je vois le tarif horaire exorbitant du stationnement, je sais déjà que je ne ferai pas de vieux os à Sète! Juste le temps d'un cinq à sept! 

Première impression lorsque je sors de la voiture dans le stationnement souterrain, ça pue! Vite, il faut que je sorte à l'extérieur! OUF! C'est déjà un peu mieux! Ma première photo c'est en sortant de l'escalier du stationnement. Wow! C'est beau! C'est fou mais j'étais tellement concentré à trouver une place de stationnement que je n'avais pas porté attention à la beauté de la ville. Je me croirais presque sur le Grand Canal à Venise!

Bon, je me dirige directement vers l'Office de Tourisme avant qu'il ne soit trop tard! Mais j'arrive trop tard, c'est déjà fermé depuis 10 minutes! Maudit bouchon! Une chance, il y a un plan de la ville sur le mur, je le prend en photo (le plan, pas le mur!).

Je continue à marcher sur la Grande Rue Mario Rousta, très bruyante et malodorante avec toutes ces voitures avançant au pas de tortue (dont je faisais partie il y a quelques minutes plus tôt!. Dès que j'ai un chance de quitter cette rue, je me dirige sur les quais d'où la vue sur le port est déjà beaucoup mieux mais l'air est toujours aussi insupportable. Ce n'est plus le monoxyde de carbone que je respire mais un mélange de fuel des bateaux et de poissons pourris!  

Je ne peux pas dire que je suis très enchanté mais je pense que je donnerai une deuxième chance à Sète lors d'un prochain séjour en France. Pour l'instant je retourne vers la voiture, j'ai besoin de changer d'air!

Sète c'est ici.






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